A 24 ans David a déjà 7 appartements ! Découvrez l’histoire de ce surdoué de l’immobilier !
Et vous, qu’est-ce qui vous empêche de faire pareil ?
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Aujourd’hui, je suis avec David que je qualifierai être parmi les « surdoués de l’immobilier ». Pourquoi ? Parce qu’il a acheté son premier appartement à 21 ans et aujourd’hui, à 24 ans, il en a sept. Tant mieux si ça vous énerve parce que j’espère que ça va vous pousser à vous bouger le derrière. Ma première question : pourquoi as-tu investi dans l’immobilier ?
Pour obtenir de la liberté géographique et financière et ne pas être obligé de se lever chaque matin pour aller travailler.
La liberté d’avoir du temps ! L’expression que j’utilise tout le temps, c’est « ne pas utiliser le réveil pour se réveiller le matin ». Et ça, pour quel objectif ?
Etre libre de mon temps, pouvoir voyager partout dans le monde sans problème d’argent. Pas forcément être ultra riche, mais avoir ce dont j’ai besoin pour voyager et ne dépendre de personne.
Aujourd’hui, tu es propriétaire de combien d’appartements ? ils sont dans quelle région et comment les exploites-tu ? Bientôt 7 sur Saint Nazaire ; j’ai acquis depuis un an cinq appartements, je viens de signer un compromis jeudi dernier et un autre pour jeudi prochain. C’est du meublé et classique pour l’instant. Il y a trois étudiants et un professeur des écoles et un jeune travaillant.
A ton âge, c’est dur d’acheter ces appartements ? Tes parents t’ont prêté de l’argent ?
Non, pas du tout, ni ma banque au début d’ailleurs et j’ai dû aller chercher encore plus loin.
Pourquoi ils n’ont pas voulu te prêter la première fois et comment as-tu fait pour avoir ton premier crédit ?
Ma situation professionnelle, depuis huit mois, et ma situation bancaire de l’année précédente ne me le permettaient pas. J’ai gardé quand même cette situation d’intérim puisque j’étais également en train d’acheter des appartements. J’ai fait trois dossiers de portage, frappé à la porte des bureaux et des petites sociétés qui m’ont tous rejeté. J’ai persévéré jusqu’à une quinzaine de banques avant d’obtenir le financement de la Banque Populaire.
Pourquoi ils t’ont financé ?
Parce que j’ai rencontré le bon conseiller qui a compris mes intentions et qui savait très bien que le jour où j’allais louer, le prix de la location financera le remboursement du crédit à 70% et il n’y a pas de risque majeur avec une hypothèque dessus. Pour saisir une bonne affaire dans l’immobilier, il faut aussi chercher le bon banquier.
Avec ta persévérance, tu as appris beaucoup de choses. C’est pour ça que je recommande régulièrement les gens : même si vous avez un bon dossier, allez voir plusieurs banques pour savoir leurs modes de fonctionnements sur les crédits afin d’en tirer un petit plus. Malgré les difficultés au niveau financement, tu as pu avoir sept appartements. Est-ce que tu pourrais nous dire combien tu gagnais pour avoir ces appartements ? On dirait « il doit être milliardaire !»
Non du tout. Sur le premier, c’était l’intérim donc le SMIC : 1200 €. En bougeant géographiquement, je suis à 1400 €.
Qu’est-ce qui t’a motivé ? Pourquoi tu as fait les choses ?
C’est une question de confiance en soi. Les acquisitions rapides dépendent aussi de la banque. Même si ça a été compliqué au début, quand on voit l’argent des premiers loyers, rien n’empêche d’avancer. A chaque fois, on fait de la visite, on négoce et on demande un financement.
C’est une drogue, on veut en avoir toujours plus. Tu pourrais nous dire combien ils coûtent les appartements que tu as achetés et comment tu les loues ?
Oui, le premier c’est 34 000 acté, les autres c’est plus ou moins 5 000 à chaque fois. Le quatrième et cinquième sont des appartements de 14 m² et de 15 m² de 30 000 €. Ce sont des petites surfaces mais bien optimisées. C’est de la location meublée, classique et longue durée.
Tu ne fais pas de la courte durée ni de colocation. Enfin, colocation dans les studios, c’est un peu difficile. Il faut être motivé. Tu as d’autres projets ? Tu veux essayer d’autres stratégies ?
Là, sur les deux derniers dont j’ai signé le compromis, il y en a un qui s’y prête bien à la location saisonnière à laquelle je vais me lancer. Je sais que les calendriers sur les logements entiers sur Saint-Lazare sont pleins sur diverses prestations. Ça va se remplir c’est sûr. Après, c’est une question de prix car je pense à 40€ la nuit.
Ça veut dire que si tu loues classiquement 2/3 des nuits, c’est-à-dire 20, ça fait 800 €. Si tu arrives à gagner 800€, pour deux appartements, ça fait 1600 € et là tu peux virer ton patron. C’est un peu l’objectif d’après ce que j’ai compris. J’ai deux questions pour finir. La première, quel est le meilleur conseil aux gens qui nous regardent aujourd’hui ?
Je dirais même qu’il y en a deux qui sont liés. On entend souvent le passage à l’action mais je dirais que quand on passe à l’action, il faut pouvoir s’isoler des personnes négatives. Elles peuvent être malheureusement l’entourage. Il est vrai qu’ils nous veulent du bien mais comme c’est quelque chose qui a trait à l’argent et l’immobilier, une grosse somme entre en jeu. Ils n’ont pas osé prendre le risque à cause des problèmes comme les impayées, les dégâts des eaux, les toilettes bouchées…
Quand tu dois faire un investissement et que ça n’arrive plus, comme par hasard, ils pensent que ça n’arrive plus.
Après, il n’y a plus qu’à passer à l’action parce que quand on est dans sa bulle, il faut rester drogué comme tu dis.
Dernière question : est-ce que c’était difficile ?
Pas du tout. En fait, on le croit que quand on le fait. C’est plus compliqué au début, c’est la banque. Une fois qu’on arrive à heurter le premier mur, il n’y en a pratiquement plus après à part soi-même. On est le premier frein pour nos investissements.
Maintenant, vous avez vu, David il a 24 ans. Il en est au septième appartement en sachant que les deux autres sont en train d’arriver. Vous allez me dire « oui, mais moi je n’ai plus 24 ans, j’ai 44 ans. ». Cela n’a pas d’importance. Ce qui compte c’est de bouger. Même si vous n’avez pas son âge, bougez-vous le derrière Le jeu en vaut la chandelle. Merci David et à bientôt !