Thomas a investi dans un studio pour que sa femme puisse vivre de leurs revenus locatifs, une belle histoire! Découvrez son histoire.
Et vous, qu’est-ce qui vous empêche de faire pareil ?
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Aujourd’hui, je suis avec Thomas qui va raconter son histoire immobilière. Vous allez voir que derrière cet outil financier, il y a aussi des histoires de vie. Je pense que le plus important lorsque vous voulez investir dans l’immobilier, c’est de l’utiliser pour atteindre vos objectifs. Thomas, pourquoi tu as investi dans l’immobilier ?
Tout simplement parce que quand je demandais à ma femme quel est le job idéal pour elle, elle était incapable d’y répondre. En gros, pour elle, si elle pouvait rester à la maison s’occuper des enfants et de moi. Du coup, j’ai cherché une solution pour qu’elle puisse avoir des revenus et arrêter de travailler et je me suis intéressé à l’immobilier et plus particulièrement à la location saisonnière. Je me suis dit, si elle peut faire que s’occuper d’appartements, ça peut libérer énormément de temps par jour.
Ton objectif c’était d’améliorer sa vie, qu’elle arrête son job aujourd’hui qu’elle n’aime pas particulièrement et pouvoir progresser.
Voilà, plus de temps libre, des revenus constants et une sérénité. Tout ça, bien sûr, tout en pensant à l’avenir aussi et à notre retraite.
Donc, le deuxième objectif, c’est la retraite. Qu’est-ce que tu as fait ? Pourrais-tu nous dire quel âge tu as et combien tu gagnes ?
J’ai 30 ans et je gagne 1 700 €. Je suis à mon compte donc ça varie un peu, mais en moyenne ça fait 1 700 € par mois.
Tu fais donc de la location courte durée. Tu as acheté quoi et dans quelle région ? Bien sûr, on va parler chiffres.
J’ai acheté un studio dans Toulouse. Pas dans le centre mais qui est quand même positionné pour faire de la colocation saisonnière. Il fait 20 m² et je l’ai payé 60 000 € hors frais de notaire.
Donc, avec les frais de notaire, tu es à peu près à 65 000.
Oui. J’ai tout emprunté. Je n’ai pas mis d’apport.
Pourtant, tu m’as dit « je croyais que l’immobilier était réservé aux riches ». Tu n’as pas emprunté, tu as payé cash tout d’un coup alors ?
Non, pas du tout. C’est vrai qu’au début, je pensais qu’il fallait absolument avoir un minimum d’apport pour pouvoir investir mais au final, négocier un prêt sans apport a été une des choses les plus faciles. Donc, j’ai tout emprunté. La seule chose que j’ai achetée moi-même sont les meubles. Et encore, vis-à-vis de la provision sur les frais de notaire qui m’a été demandé et qui est assez grosse, je pense que celle-ci paierait une partie et puis va me financer peut-être plus de meubles.
C’est-à-dire que tu as emprunté la totalité, frais de notaire inclus. Donc, une enveloppe à peu près de 65 000 €. Vous savez, quand vous allez chez le notaire, il vous demande une provision sur prêt et généralement plus que ce que ça va réellement vous coûter. A priori, ton notaire a demandé peut-être 1000 € de plus. Comme le notaire va le lui rendre, il va y pouvoir mettre les meubles alors que généralement, les banques ne prêtent pas pour acheter des meubles. Ou alors, ils peuvent vous faire un crédit à la consommation pour ça.
Ça va même plus loin parce que j’ai aussi emprunté les frais de courtier, les frais bancaires, les frais d’agences. Au total, j’ai emprunté 67 880 € sur vingt ans et rembourse 340 € par mois.
Beaucoup moins que 400 €. Combien tu encaisses chaque mois ?
J’encaisse entre 800 et 1 000 € par mois.
On va dire 900 € et il te reste ton crédit à payer.
Le crédit à payer et les charges inhérentes à la gestion de l’appartement.
Donc, il te reste 400 € par mois. En sachant que tu gagnes aujourd’hui 1700 et ta femme 1100€, un revenu de 2800 au total. Ce qui vous a permis d’acheter un premier appartement et vous touchez 400 € de revenus supplémentaires. D’autant plus que vous n’allez pas payer d’impôt les premières années dessus. Ne croyez pas qu’on paie beaucoup d’impôt sur l’immobilier. C’est complètement faux à condition de juste savoir ce qu’il faut faire. J’aimerais te poser deux questions. La première : c’est quoi le meilleur conseil que tu pourrais donner aux personnes qui nous regardent aujourd’hui ?
Le meilleur conseil que j’aurais à donner aux gens, c’est de se lever et de le faire. Tout simplement. N’hésitez pas à faire des offres agressives quelque part.
Tu parles des négociations.
Oui, mais le premier conseil c’est vraiment d’y aller. A la base, quand je disais à mon entourage que j’étais en train de rechercher un appartement, quand je leur exposais mon projet, j’ai eu plein d’objections. Mais en réalité c’est qu’aujourd’hui, il y en a plusieurs qui ont le bec court. Je n’ai pas vraiment eu de difficulté à le faire. Il faut se lever. Il faut aller visiter des appartements, chercher et à partir de là on trouve des choses intéressantes. Comme d’habitude.
Et la question que j’adore poser : est-ce que c’était difficile ?
Non, ce n’est pas difficile. La vérité c’est que quand on a la volonté de le faire et quand on lève son derrière, effectivement n’importe qui peut le faire.
Les choses démarrent à partir d’un élément déclencheur c’est-à-dire un moment où on se dit « oui, j’en ai assez » ou « je voudrais avoir plus » ou « je voudrais faire quelque chose de ma vie », ou « faire d’autres choses ou apporter plus de choses à mes enfants ou à ma femme ». A un moment, on prend la décision de faire les choses. Tant que vous ne prenez pas la décision de faire les choses, il ne se passe rien pour vous. La question que je vais vous poser, c’est « quand allez-vous prendre la décision de faire les choses et de commencer à investir dans l’immobilier ? ».
C’est la question que je pose à mes proches parce que maintenant qu’ils voient que ça marche, ils me disent tous « il faut que j’en parle à mon conjoint. Il faut qu’on fasse ça ». Et j’attends dans mon entourage qui va vraiment le faire.
Thomas, merci pour ce témoignage. J’espère qu’il vous donnera envie d’aller plus loin. Je vais faire un peu de pub : Thomas est venu à mon séminaire. J’espère que vous en ferez autant.